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Wermeille-Gendre, François et Marie (Sous-Dossier)
Zone d'identification |
| Title: | Wermeille-Gendre, François et Marie |
| Level: | Sous-Dossier |
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Zone du contenu et de la structure |
| Content: | Dates : François (12 avril 1866, Moutier-19 février 1956, Guebwiller) et Marie (1er novembre 1878-5 septembre 1956).
Mariage : 29 avril 1902.
Filiation : François est le fils d’Auguste et Eugénie Wermeille-Eichelbrenner.
Il a deux frères (Ignace et Etienne) et trois sœurs (Marie-Béatrix, Marie-Thérèse et Marie-Marthe). Comme tous les autres décèdent tôt, Ignace reste son seul frère.
Marie est la fille de Louis Auguste et Thérèse Gendre-Combier.
Elle a 5 frères (Henri, Léon, Paul, Félix et Victor) et 4 sœurs (Augustine, Anna, Elisabeth et Gabrielle).
Enfant(s) :
1) Etienne Vermeille (1 avril 1903-25 octobre 10.1999) prêtre, ordination et première messe le 10 juillet 1934
2) Frédéric Vermeille, dit Didi (13 avril 1904-?), médecin en juillet 1929 OO (fiancés en juin 1936, mariés le 4 septembre 1936) Marie-Thérèse Vermeille-Mathieu-Molard (?-?)
3) Jean Vermeille (23 mars 1905-27 novembre 1987), jésuite : ordination le 24 août 1936 et première messe le 25 août 1936
4) Geneviève Althoffer-Vermeille, dite Ginette (4 août 1909-?) OO (fiançailles en décembre 1932 ; mariage civil, 8 août 1933 ; mariage religieux, 9 août 1933) Michel Althoffer (1910-?)
5) Alain Vermeille, dit Linet (28 septembre 1922-?) OO (28 mai 1965) Anne-Marie Vermeille-Théry (?-?)
6) Thérèse Anne-Marie Mabille-Vermeille, dite Naïs (17 janvier 1925-?) OO (24 août 1951) Jean Henri Mabille (?-?).
Profession : Médecin depuis le 31 août 1894, conseiller de paroisse, membre du chœur paroissial Sainte-Cécile.
Résidence(s) : De 1880 à 1882, il étudie à l’Ecole Libre Saint-Benoît, à Delle, avec son frère Ignace ; à Berne où il rencontre Germain Viatte aussi étudiant en médecine (1886-1888) où il étudie la médecine, à Genève (1887-1888), à Paris (de 1888 à 1895) chez la famille Auguste et Marie Eichelbrenner-Jourdan, au 76 bis, rue des Saints-Pères et aussi à la rue du Vieux-Colombier. Il termine ses études à Genève, où il passe son examen d’Etat. Après avoir hésité à se fixer à Mehun-sur-Yèvre sur les conseils de son frère Ignace, il s’établit comme chirurgien à Delémont, à la rue de la Gare, 43, puis à la Grand-Rue, 36, après son mariage. |
| Divers : François obtient son diplôme de maturité à l’Ecole cantonale à Porrentruy en 1886, dans la même classe que Louis Cuenin.
Pendant ses études, il est introduit dans la Société Laënnec (lettre de sœur Saint-Albert adressée à Auguste Wermeille, le 16 février 1889).
Marie se fait opérer d’une hernie au mois de mai 1918 à Fribourg.
François et Marie ont des enfants entre 1903 et 1925, c’est-à-dire quand ils ont entre 37 et 58 ans pour François, entre 25 et 47 ans pour Marie.
La correspondance révèle aussi la vie sentiementale de Marie Gendre ; ainsi, Augustine Zeller-Gendre, la sœur aînée de Marie, écrit au sujet d’un prétendant : « D’après tout ce que je sais du jeune homme qui t’a fait sa demande, j’ai tout lieu de croire qu’il possède toutes les qualités pour te rendre heureuse (…) Je suis bien contente que tu t’établisses à Berne (…) Et puis permets nous bientôt d’annoncer tes fiançailles (…) » (4 septembre 1899)
« Ce projet de mariage me trotte dans la tête. Et plus je réfléchis, plus je le considère comme déraisonnable. Voilà cinq ans que je vis dans l’armée (…) la vie dans l’armée est très pénible (…) Je te laisse libre de ton choix… ». (1er novembre 1901)
Ensuite, au sujet de son mariage avec François Wermeille : « Je ne veux pas tarder à t’envoyer toutes mes sincères félicitations pour l’heureuse décision que tu viens de prendre. Je vous souhaite à tous deux beaucoup de bonheur et une entente parfaite plus tard en ménage… » (16 mars de 1902)
Adèle Eichelbrenner-Lorand institue François Wermeille son légataire universel : « D’après ce que m’a dit Marie Dada, concernant le testament de tante Adèle, celui-ci daterait de 2 ans. C’est François qui est institué légataire universel. Léon reçoit 10000 Fr. Marie Dada 3000. Quand je saurai du nouveau je vous le dirai ; du reste Martinet notaire s’en chargera bien. » (lettre d’Ignace Wermeille à Auguste Wermeille, le 6 septembre 1909). |
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URL for this unit of description |
| URL: | https://archivescantonales.jura.ch/detail.aspx?ID=111911 |
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