Zone d'identification |
| Title: | Wermeille-Mosnier, Ignace et Germaine |
| Level: | Sous-Dossier |
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Zone du contenu et de la structure |
| Content: | Dates : Ignace (10 janvier 1868-20 novembre 1951) et Germaine (1895-10 juillet 1986, à 90 ans).
Mariage civil: 25 septembre 1918, mariage religieux, 1er octobre 1918.
Filiation : Ignace est le fils d’Auguste et Eugénie Wermeille-Eichelbrenner.
Il a deux frères (François et Etienne) et trois sœurs (Marie-Béatrix, Marie-Thérèse et Marie-Marthe). Comme tous les autres décèdent tôt, François reste son seul frère.
Enfant(s) :
1) Claude Vermeille (août ou septembre 1919-?) OO ? Vermeille-Vernade (?-?)
2) Jacques Vermeille (?-?) Hypothèse: année de naissance en 1920 OO Denise Vermeille-Clément (?-?)
Profession : Avocat travaillant dans la banque, à Paris dès mai 1891.
Résidence(s) : Il fréquente l’Ecole Libre Saint-Benoît à Delle (1880-1882), puis, habitant chez la famille Ceppi, l’Ecole cantonale à Porrentruy, Ignace entreprend ensuite des études de droit, à Genève (1897-1891). Il s’installe à Paris à partir de 1892 jusqu’à la fin de sa vie. Il y travaille à la Banque des Placements Financiers (1894), ensuite à la Banque des Valeurs Françaises (1902-1908).
Divers : Familièrement appelé Natzi, Ignace apparaît comme un garçon éveillé et travailleur.
Il passe ses examens de maturité en 1887, dans la même classe que Joseph Ceppi, et qu’Alfred Ceppi (né le 6 octobre 1867, fils de Jacques et Fidelia Ceppi-Husson ; par la suite, Alfred Ceppi étudie le droit à Paris, habitant rue Cassette 10).
Son frère François écrit à son père au sujet de l’opération qu’Ignace a subie en mai 1890 : « L’opération d’Ignace et son cas de hernie ont été publiés dans la revue du Médecin de la Suisse Romande, d’après ce que m’a dit Dupraz. Le Docteur Bourquard reçoit cette revue. » (lettre de François Wermeille à Auguste Wermeille du 18 mars 1891) Dans ce dossier, figure aussi une photocopie de l’article auquel il fait référence : Reverdin, Jaques-L., Recueil de faits, Observations cliniques, dans Revue Médicale de la Suisse Romande, dixième année, N° 9, pp. 593-596. Librairie de l’Université, Genève, 20 septembre 1890.
Son ami, Louis Cuenin, le rassure d’avoir renoncé à la profession d’avocat : « Ne regrette rien de la carrière d’avocat où tu as eu la prudence de ne pas entrer ; elle est abominablement vilipendée » (17 mars 1893).
Jusqu’à son mariage, il habite soit seul ou avec son frère François, ou encore chez son oncle Auguste Eichelbrenner (la famille du 76 bis).
Il est le parrain de Joseph Schaller.
Il est co-héritier, avec son frère François Wermeille, dans la succession de feu Louis Cuenin (9 février 1866-12 avril 1925), en son vivant avocat à Porrentruy. |
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URL for this unit of description |
| URL: | https://archivescantonales.jura.ch/detail.aspx?ID=111913 |
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